Les Suédoises, Plus Faciles À Monter Qu’Un Meuble Ikéa

Je viens de finir mes trois jours de prospection dans la région PACA, mon boulot c’est bien passé et pour une fois je ne suis pas obligé de me speeder pour rentrer à la maison puisque personne ne m’y attend. Je prends tranquillement mon petit déjeuner à l’hôtel et après une bonne douche et avoir vérifier que je n’ai rien oublié je rends ma clé à la réception.

Je monte dans la voiture alors qu’il est plus de 11 heures, j’ai un peu moins de 6 de route alors je décide de prendre mon temps. Je commence par longer la côte en direction de Marseille pour profiter encore un peu du bord de mer et de l’air de vacances permanent. Je ne suis pas pressé de retrouver le froid et les montagnes savoyardes. Je roule les fenêtres ouvertes (la clim ne marche plus) et la musique assez forte.

Avant de rentrer sur l’autoroute je m’arrête dans un super marché pour faire le plein d’essence mais aussi acheté à boire et des petits trucs à grignoter. Vu que nous sommes jeudi en pleine journée, il n’y a pas grand monde. Je fais une première pause une fois que j’ai dépassé Avignon, à ce niveau la route est droite est large et je bifurque bien avant Lyon donc plus de risque d’embouteillage.

Un peu avant la bretelle pour suivre la direction Grenoble, je m’arrête une nouvelle fois. Une pause pipi puis un café et une clope pendant que jeje dégourdie les jambes. Je prends mon temps et profite du soleil un bon moment avant de reprendre la route. Toujours les vitres grandes ouvertes, je modère un peu le volume de la radio tant que je suis dans la station service.

Je m’engage sur l’autoroute quand je vois au début de la voie d’accélération deux femmes, je pense d’une trentaine d’année comme moi, me faire des grands gestes. Je freine et me gare un peu après elles sur le côté, elles se mettent à courir vers ma voiture avec leurs gros sac à dos.

Celle qui a les cheveux châtain (l’autre est blonde) me demande dans un français approximatif si je peux les amener jusqu’à Lausanne.

Je commence à lui parler en anglais mais elle me semble encore moins à l’aise qu’en français alors je continue dans ma langue. Je lui explique que je m’arrête juste avant Annecy.

Elle me demande si c’est sur la route, je le lui confirme par contre je la préviens que ça ne sera pas facile de trouver une voiture qui les amener jusqu’à Lausanne. Elles parlent entre elles, je ne comprends pas un mot et ne reconnais pas leur langue. La fille au cheveux châtain me dit « Ok » et elles vont mettre leurs sacs dans le coffre.

Je suis étonné de voir qu’elles montent toutes les deux sur la banquette arrière, je ne fais pas peur à ce point! Avant de redémarrer je leur dis que je m’appelle Romain. La blonde s’appelle Ava et l’autre Ida, elles viennent de Suède. Je démarre et nous roulons tranquillement bercé par du rock.

Elles chantent et dansent sur la banquette arrière, on dirait deux gamines mais ça met une bonne ambiance dans la voiture. Le trajet va être moins calme que je ne le pensais mais pas désagréable pour autant. Je ne roule pas au dessus la limite pour pouvoir les admirer dans le rétroviseur. Ava a des cheveux très clairs et des yeux bleux, c’est vraiment l’archétype de la suédoise.

Elle a une petite poitrine à la Jane Birkin mais qui est en harmonie avec le reste de son corps qui est très fin. Entre son sourire et son regard bleu océan, elle a du faire bander pas mal de mec. Elle a un côté mannequin qui veut faire peuple qui lui donne beaucoup de charme.

Ida a une chevelure plus foncée que sa compatriote mais reste dans tes tons clairs. Elle est plus en forme et en chair que sa copine mais pas moins charmante même si elle a un air un peu sévère avec ses yeux noirs. Elle semble être la meneuse des deux, Ida décide et Ava la suit. Quand elles ne connaissent pas les chansons elles discutent entre elles et rigolent. J’ai l’impression de voir le début d’un film érotique des années 70, il ne reste plus qu’à flouter un peu l’image.

Nous roulons depuis bientôt 1h30 quand Ida me demande si on peut faire une pause. Elles courent vers les toilettes pendant que je me grille un clope. Quand elles reviennent, elles ont des bouteilles de jus de fruits dans les bras et la blonde les pose sur la table en me disant:
« Choose » (Choisis)
Ida rajoute:
« Pour dire merci »

il y a une bouteille verte, une rouge et une qui tire vers le bleu. Je choisis la rouge, ça me semble le plus sûr et les remercie. Je leur propose une cigarette mais les deux refusent. Nous commençons à discuter un peu en français, un peu en anglais et les mots que je comprends pas doivent être en suédois.

Elles ont, tous les deux, 31 ans et travaille ensemble à Malmö, une ville au sud du pays. Elles ont pris 3 semaines de congés pour profiter ensemble. Elles ont atterri à Rome et viennent de passer 10 jours entre l’Italie et la côte d’azur. Elles partent rejoindre un ami musicien à elles qui est sur Lausanne pour préparer le festival de Montreux.

C’est essentiellement du Jazz, c’est un festival un peu huppé mais avec de bonnes programmations. Je suis déjà allé quelques fois mais l’entrée est assez chère. Du coup on parle un moment de musique mais à part que quelques groupes incontournables, nous n’écoutons pas tellement la même chose. Tout le temps de la pause Ava ne dit pas grand chose.

Nous reprenons la route et cette fois la discussion est plus sur nos vies personnelles. Même si elle ne parle pas beaucoup la blonde me semble être plus interessante et cultivée. C’est sans compter sur son côté timide et mystérieux. Par contre je préfère de loin le physique d’Ida, Ava est beaucoup trop maigre pour moi.

Il est bientôt 20 heures quand nous nous approchons d’Annecy. Ida dit qu’il commence à se faire tard et que ça serait peut être une bonne idée qu’elles passent la nuit chez moi et qu’elles reprennent la route que le lendemain. Je dois bien avouer qu’une nuit d’amour avec une des deux ou même les deux me réjouit d’avance.

J’accepte avec plaisir et au lieu de les déposer sur la route de la Suisse, je prends la sortie pour la maison. Une fois garé, elles sortent leurs sacs et je récupère ma valise. Ida trouve la maison très belle, c’est un petit bâtiment de 3 étages, typique de la région. A première vue je comprends sa réaction mais je connais les défaut de l’immeuble.

J’habite au deuxième, nous montons le plus discrètement possible le petit escalier et nous rentrons enfin chez moi. C’est vraiment un appartement de célibataire, j’ai du courrier qui traine depuis un moment, des cadavres de bouteilles de bières…

Elles posent leur sac à l’entrée et enlèvent leurs chaussures, j’en profite pour ramasser quelques trucs qui trainent et les jeter à la cuisine. Mon appartement n’est pas très grand, J’ai une grande pièces à vivre avec une cuisine américaine, on fait vite le tour. Ensuite je leur montre la chambre d’ami, que je dois ranger et la salle de bain. J’ouvre la porte de ma chambre mais la referme aussitôt en voyant tout le linge qui traine.

Je réalise qu’en plus du rangement, je dois faire quelques courses. Seul je me serais suffit de connerie qui me reste mais là il ne faut pas déconner. Je leur dit de s’installer, je leur tire des draps et des serviettes pour si elles veulent se doucher et pendant ce temps je vais faire des courses. Je leur dit que j’en ai pour une demie heure maximum.

Le problème c’est qu’à cette heure il ne reste plus grand chose d’ouvert. Je me dépêche de prendre la rocade pour rejoindre le supermarché qui ferme qu’à 22 heures. Je fais au plus vite pour faire les courses et je me dépêches de rentrer à la maison. Je suis de retour un peu après 21h30.

Quand je rentre chez moi je ne reconnais pas l’appartement, elles ont tout rangé, elles ont même allumé des bougies que je ne savais pas que j’avais. Je me dépêches de déposer les courses quand je remarque qu’elles se sont lavées et changées. Je me dépêches de tout ranger en les admirant de finir de s’activer.

Ava porte maintenant une jupe droite qui lui arrive à mi cuisse et un haut à bretelles. Dans cette tenue, la ressemblance avec Birkin jeune me frappe encore plus. Ida porte une robe qui lui couvre tout le corps mais en l’observant mieux je remarque qu’elle est presque transparente.

Quand je me rend compte que l’on distingue parfaitement ses aréoles et sa toison au niveau de son mont de Vénus, je bande immédiatement. Il faut que je me concentre dans la cuisine sur le repas, après on pensera à batifoler. Comme je ne sais pas ce qu’elles mangent, j’ai acheté plein de trucs pour faire un apéritif.

Je prépare des chips, des olives mais aussi des légumes coupés avec des petites sauces toute prête. Pendant que je coupe le pain pour aller avec l’assiette de fromage et celle de charcuterie, elles commencent à tout mettre sur la table basse du salon.

Je vais les rejoindre avec une bouteille de rouge à la main pour leur demander si elles en veulent quand je vois mes cassettes porno en évidence sur la table. Je me décompose un peu mais je reprends rapidement le dessus en me disant que c’est de bonne augure mais je fais comme si de rien était.

Je leur montre la bouteille et Ida me demande si c’est du vin français, je fais oui de la tête et du coup elles aussi. Je retourne vers la cuisine quand la meneuse att une des cassette et me dit:
« On peut? »
Je décide de me la jouer cool et je dis d’accord. Pendant que j’ouvre la bouteille, je leur précise que se sont de vieux films tout pourris mais j’entends les gémissements, très reconnaissables, des films porno.

Quand je reviens avec les verres, les files sont debout entrain de se rouler une pelle. Je reste un moment debout à les regarder avec ma bouteille et mes verres à la main. Mais elles ne font pas que s’embrasser, Ida caresse les petits seins de la blonde par dessus le t-shirt. Ava, quand à elle, a ses mains sous la robe de sa copine et plutôt au niveau de l’entrejambe.

Je pose ce que j’ai dans les mains pour ne rien casser et je remarque qu’à l’écran deux filles sont dans un 69 endiablé.
Devant moi Ida retire le top de sa copine puis s’allonge sur le canapé. Ava relève la longue robe jusqu’au ventre pendant que l’autre ouvre sa jupe. La blonde se retrouve en string et vient s’installer entre les jambes de sa copine.

Elle se met à lui lécher la chatte pendant que l’autre commence à gémir. Elles font comme si je n’étais pas là! Une fois que j’ai trouvé le bon angle pour bien profiter du spectacle je reste immobile. Il y a que ma bite qui s’excite dans mon boxer car elle se sent de plus en plus à l’étroit.

Pendant qu’Ida se fait bouffer la moule, elle relève sa robe et la retire. Elle est bien nue en dessous et sa magnifique poitrine m’excite encore plus. Elle att sa copine, qui continue de la laper tout en se positionnant en 69. Elles s’appliquent à se donner le plus de plaisir possible.

On voit qu’elles ont l’habitude du corps de l’autre. Elles se lèchent, se doigtent, se malaxent et se caressent avec une grande satisfaction. Les gémissements se mélangent aux bruits de succions, aux soupirs accentués… Leurs corps sont pris de spasmes à peu près au même moment et elles jouissent ensemble.

Je n’ai pas raté une miette du spectacle mais je n’ai pas osé bouger. Ni pour me déshabiller, ni pour m’approcher pour les toucher ou même participer. Alors qu’elles sont toujours l’une sur l’autre, Ida m’invite:
« Viens avec nous! »
Et Ava rajoute même:
« We want to see your dick! » (On veut voir ta queue!)

L’invitation est bien lancé alors je déboutonne ma chemise que je retire rapidement. J’ouvre mon pantalon que je fais descendre en même temps que mon boxer. Je me retrouve rapidement nu comme elles sauf que j’ai une bite et bien en forme. Ava se relève la première et avance vers moi.

Elle se met contre moi et pose ses petit seins sur mon torse poilu. Elle pose ses mains sur mon ventre et en descend une lentement pour empoigner ma queue et la caresser. Son autre main suit le même chemin mais s’arrête plus loin, sur mes couilles qu’elle malaxe. Moi qui pensait être tendu au maximum, j’ai l’impression d’encore gonfler entre ses doigts.

Puis Ava s’agenouille devant moi et commence par me sucer le gland. Sous ses faux airs de petite fille sage c’est une sacrée experte dans l’art de la pipe. Elle fait des montées et descentes très lentes où ses lèvres compriment bien ma tige. Elle fait des pauses pour s’occuper de mon gland ou mon frein avec sa langue, ses lèvres et même ses dents.

Quand ses vas et viens prennent de la vitesse, ses mains sont sur mes couilles alors qu’elle m’enfonce au plus profond de sa bouche. Mon gland pénètre même sa gorge et me garde ainsi jusqu’à ce qu’elle est besoin de respirer. Quand ses mains ne s’occupent pas de mon costumes 3 pièces, elles descendent sur mes cuisses ou mes fesses.

Ida est affalée sur le canapé, les jambes grandes ouvertes et relevées elle caresse sa grotte ou son petit cul. Je suis au comble de l’excitation en plus cela fait une semaine que je n’ai pas baisé et pendant mon séjour j’étais très speed du coup je ne me suis pas non plus masturbé. Je sens que mes couilles, très pleines, manifestent leur envie de se vider.

Je préviens Ava que je suis au bord de l’orgasme, elle me garde en bouche et fait des vas et viens encore plus rapide. Ida se lève et viens s’agenouiller à côté de sa copine, elle s’occupe de mes couilles pendant que la blonde continue de me sucer. Il ne me faut que quelques minutes de ce traitement pour me répandre dans sa bouche.

Ava prend ma première giclée en bouche puis Ida empoigne ma queue pour l’astiquer et asperger la petite poitrine de sa copine avec les jets suivants. Une fois que je me suis totalement vidé, elle se penche vers les petits seins de la blonde pour aspirer mon sperme. Pendant ce temps l’autre nettoie ma queue.

Une fois qu’elles ont toutes les deux fini, elles se roulent une pelle pour partager les dernières gouttes qu’elles ont en bouche. Puis elles se lèvent, la meneuse pose sa main sur ma nuque et m’attire à elle pour m’embrasser goulument. Quand nos lèvres se dessoudent elle dit un truc en suédois à sa copine fait la même chose.

Quand je reprends mes esprits je remonte mon pantalon et mon boxer. J’att ma chemise mais je remarque qu’Ava a juste remis son string et Ida porte uniquement une culotte qu’elle sort de je ne sais où. Du coup je n’enfile pas ma chemise, retire mon pantalon et je vais m’installer entre les deux sur le canapé.

Elles se collent à moi, chacune de son coté et me caresse le torse tout en m’embrassant chacune leur tour. Au bout de quelques minutes je les interrompt pour servir le vin. Je recharge assez rapidement mais j’ai quand même besoin de reprendre des forces. Vu que nos mains n’arrêtent pas de tripoter les deux autres, je sais que le reste de la nuit sera aussi chaude, mais ça c’est une autre histoire….